Bistes (1941-2020). Loin de la gesticulation des officiels de la culture, subversif des arts plastiques pluridisciplinaires, étranger aux modes des médias, Bistes a conduit en toute liberté sa carrière de peintre, dans sa forteresse de silence. Après 60 ans d’une stricte observation de la nature, il était l’un des maîtres du classicisme français. Les sujets ordinaires de l’intimité quotidienne étaient abordés sans crainte de banalité, loin de tout académisme, dans l’intériorité. La rigueur du dessin était le fil conducteur du message qui expliquait la reconnaissance populaire qui, l’a toujours accompagné.

« Bistes n’a pas vendu son âme au diable »

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Bistes, c’est aussi un personnage entier qui a gagné son indépendance et sa liberté en préservant son intégrité, refusant de se conformer au jeu du marketing et de certaines galeries qui privilégient la production au détriment de l’âme de la peinture. En rejetant ce système, il a renoncé à de nombreuses opportunités. Sans hésiter, il déchira le contrat devant les yeux interloqués des représentants d’une galerie renommée au Japon, renonçant ainsi à une carrière internationale assurée.

En 1981, la famille Bistes, agrandie d’Emmanuel et d’Alexandre fait son retour définitif en France. Dès lors, il se consacre exclusivement à la peinture et à la restauration du château de Mauriac. Cette même année, Marylène exhume une pochade1 des cartons. Il n’y a aucun doute, Bernard possède un don extraordinaire pour le dessin, mais très attiré par la matière, a souvent du mal à s’arrêter. Il faut « suggérer tout, sans rien définir ». C’est la voie à suivre. Dès lors commence un changement radical dans la peinture de Bistes, qui s’attelle à épurer son style, ne gardant que l’essentiel. Il est également inspiré lors d’une exposition de Van Gogh à Amsterdam en 1990. À son retour, il se met à travailler la lumière et le vide qu’il ne trouvait ni au Laos ni en Uruguay. Depuis, le peintre n’a cessé de rechercher la simplicité des lignes et la pureté des blancs.

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Copyright 2023 Bistes

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Gaston Dielh Président des critiques d’art parisiens 1996, au sujet du travail de Bistes

«oeuvre altière et résolue». «Alliance originale de raffinement et de violence».

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Le château de Mauriac, qu’il a restauré pendant près de 60 ans est devenu son sanctuaire, ainsi qu’un écrin pour de nombreuses toiles, constituant ainsi son musée. Bistes n’a peut-être pas obtenu la reconnaissance qu’il méritait en refusant de se plier aux règles, mais ceux qui savent reconnaître son talent ne s’y trompent pas. Aujourd’hui, de nombreuses œuvres de Bistes sont dispersées aux quatre coins du monde, dans les collections privées de connaisseurs.

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Issu d’une famille albigeoise aisée, le jeune Bernard Bistes découvre très tôt sa vocation pour l’art, en particulier lors de ses nombreuses visites du musée Toulouse-Lautrec, où il passe beaucoup de temps aux côtés du conservateur de l’époque. C’est tout naturellement qu’il monte à Paris pour intégrer l’une des écoles des beaux-arts les plus réputées, Claude Bernard. Après avoir obtenu son Capes, il commence à exercer en France, herite du château de Mauriac, effectue son service national en coopération au Liban, puis épouse Marylene. De 1968 à 1974, il exerce en tant que professeur de dessin à Gaillac, puis entame une série de missions à l’étranger. le couple séjourne d’abord au Laos de 1974 à 1978, puis en Uruguay de 1978 à 1981.

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